Manannan
Les vagues meurent sur le rivage,
Le ciel se couvre de nuage;
Manannan, Dieu de l'océan,
Je t'honore en cet instant.
Le vent, lentement, se lève,
Ta colère se répand sur la grève,
La houle frappe les rochers,
Ta puissance semble illimitée...
En haut de la falaise, je te contemple,
En moi, le pouvoir, l'énergie enflent,
Je me laisse envelopper par les embruns,
Eau, Air, Terre en un seul point...
Instant de grâce, d'unité,
Instant de puissance, d'éternité,
Le temps se décante et s'arrête,
Le temps cristallise dans nos têtes.
Puisse s'apaiser ta colère,
Malgré le pillage de la mer.
Que les cupides subissent ton courroux;
Que les respectueux voient le redoux.
Maître et Seigneur de la mer,
Ô Manannan, écoute ma prière,
Je t'en prie accepte ses humbles présents,
Portés jusqu'à toi par l'encens et le vent.
AWEN
Aubépine
Le ciel se couvre de nuage;
Manannan, Dieu de l'océan,
Je t'honore en cet instant.
Le vent, lentement, se lève,
Ta colère se répand sur la grève,
La houle frappe les rochers,
Ta puissance semble illimitée...
En haut de la falaise, je te contemple,
En moi, le pouvoir, l'énergie enflent,
Je me laisse envelopper par les embruns,
Eau, Air, Terre en un seul point...
Instant de grâce, d'unité,
Instant de puissance, d'éternité,
Le temps se décante et s'arrête,
Le temps cristallise dans nos têtes.
Puisse s'apaiser ta colère,
Malgré le pillage de la mer.
Que les cupides subissent ton courroux;
Que les respectueux voient le redoux.
Maître et Seigneur de la mer,
Ô Manannan, écoute ma prière,
Je t'en prie accepte ses humbles présents,
Portés jusqu'à toi par l'encens et le vent.
AWEN
Aubépine
Salvateur ressac
Souvenir éthéré du passé,
Des peines confiées à l'océan azuré,
Et des fraîches plaies ainsi refermées.
A l'époque ces vagues n'avaient pas de nom,
Je me contentais d'écouter leur chanson,
Et d'accueillir humblement la guérison.
Qu'elles aient ainsi pansées mes plaies,
Émue et reconnaissante, je repartais,
Alors que mes cicatrices déjà disparaissaient.
Aujourd'hui, Manannan, ces vagues portent ta marque,
Mon cœur emporté au delà des neuf vagues, sacre,
Ton murmure qu'il me semble entendre dans le ressac.
Je virevolte sur la grève parmi les embruns,
Près de toi, mon coeur bat plus fort, serein,
Ô Manannan, Fils de la jument bleue, je te loue sans fin.
Mes pas me portent sur les falaises du ponant,
Mon âme chevauche les rafales de vent,
Tandis que mon cœur rejoint les flots brillants.
Terre, Ciel et Mer en un même endroit,
Ainsi réunis, instants de magie ici bas,
En ton honneur, de l'encens et ma foi...
AWEN
Aubépine
Des peines confiées à l'océan azuré,
Et des fraîches plaies ainsi refermées.
A l'époque ces vagues n'avaient pas de nom,
Je me contentais d'écouter leur chanson,
Et d'accueillir humblement la guérison.
Qu'elles aient ainsi pansées mes plaies,
Émue et reconnaissante, je repartais,
Alors que mes cicatrices déjà disparaissaient.
Aujourd'hui, Manannan, ces vagues portent ta marque,
Mon cœur emporté au delà des neuf vagues, sacre,
Ton murmure qu'il me semble entendre dans le ressac.
Je virevolte sur la grève parmi les embruns,
Près de toi, mon coeur bat plus fort, serein,
Ô Manannan, Fils de la jument bleue, je te loue sans fin.
Mes pas me portent sur les falaises du ponant,
Mon âme chevauche les rafales de vent,
Tandis que mon cœur rejoint les flots brillants.
Terre, Ciel et Mer en un même endroit,
Ainsi réunis, instants de magie ici bas,
En ton honneur, de l'encens et ma foi...
AWEN
Aubépine